Dans un château privé gersois, j’ai été chargé de la restauration d’un décor original du XVIIIe siècle sur enduits de chaux.
Il m’a fallu recoller l’enduit partout où il avait cédé aux outrages du temps, fixer soigneusement les décors survivants et retoucher la peinture qui tend à s’estomper avec les siècles.
J’ai surtout dû reconstituer le décor sur les parties manquantes et non pas l’inventer. C’est un travail exigeant, car la restauration ne laisse pas de place à l’interprétation, seulement à la recherche de la plus grande authenticité.